I. Le problème Les chrétiens orthodoxes ont l’habitude de faire bénir les icônes par un prêtre ou un évêque. Souvent les évêques les bénissent en les oignant du saint chrême. Il y a même des offices spéciaux pour bénir les…
Allegorical personification played a major role in Graeco-Roman art: a human figure, not a real person, represented an abstract idea. The Christian artistic tradition, culminating in the icon, reduced or eliminated such symbols preferring depictions of real, historical persons and events. This article analyzes specific icons to show how the process developed.
St. Gregory Palamas's doctrine of God's essence and énergies is fundamental for the understanding of icons. God is unknown and unknowable in his essence but manifests himself in his énergies. These énergies shone in Christ Transfiguration, in the Holy Light. It is in this Light that icons depict our world and people in the light of the Heavenly Jerusalem.
Do the changing practices of receiving non Orthodox converts into the Orthodox Church manifest an underlying, but unstated, ecclesiology? These practices have varied, and vary, from baptism to chrismation to simple statement of faith. It is the thesis of this article that the reception of converts presents the Orthodox view about the ecclesiality of non Orthodox Churches.
Eusebius of Caesarea is supposedly an iconophobe, but was he really? His Letter to Constantia is the basis of that reputation. This article seeks to prove that that Letter is not authentic and therefore his iconophobic reputation has no basis.
Certains Pères de l'Église ont écrit que le Saint-Esprit est l'image du Fils. Puisque saint Paul a déjà dit que le Fils est l'image du Père invisible qui a engendré le Fils éternellement, cette phrase patristique veut-elle dire que le Fils a engendré le Saint-Esprit ? Quel est le sens du mot IMAGE dans les deux contextes. Le problème n'est pas moindre parce que les Pères qui affirment que le Saint-Esprit est l'image du Fils sont parmi les plus éminents : saints Athanase d'Alexandrie et Jean Damascène entre autres. Donc, comment interpréter cette affirmation de la plume des Pères les plus orthodoxes ?
Constantin Kalokyris nous informe de l'effort de certains moines du Mont-Athos qui, en se croyant fidèles à la tradition, ont effacé la scène du bain de l'Enfant Jésus de l'icône de Noël. Au lieu d'être fidèles à la tradition orthodoxe, ces moines se montraient inspirés par une vision théologique étrangère à ce qu'ils voulaient défendre.