Cette 6e vidéo du cours L'ART DE L'ICÔNE examine la période après la défaite de l'iconoclasme.
Cette 4e vidéo du cours L'ART DE L'ICÔNE se concentre sur la période iconoclaste dans l'Empire romain d'Orient, 726-843.
Cette 3e vidéo du cours L'Art de l'icône traite du développement de l'art chrétien du début de l'Empire chrétien jusqu'au début de l'iconoclasme.
Cette deuxième vidéo dans le cours L'Art de l'icône traite des images juives et chrétiennes trouvées dans la synagogue et le baptistère à Doura-Europos, Syrie, en 250 après J.-C. Quelle est la signification de ces découvertes pour l'histoire de l'imagerie chrétienne surtout, mais aussi pour l'art juif ? Dans le domaine de l'art chrétien, elles sont révolutionnaires et appuient la thèse de ce cours que l'expression de la foi chrétienne en images remonte aux apôtres.
Cette première vidéo du cours L'ART DE L'ICÔNE présente l'imagerie chrétienne de la période paléochrétienne, avant l'empereur Constantin. Quelle est la source -- l'origine , l'inspiration -- de l'art chrétien ? Selon la théorie de l'hostilité des paléochrétiens, ainsi que les juifs, étaient iconophobes, c'est-à-dire hostiles aux images à cause de l'idolâtrie. Les images sont entrées dans l'Église comme une corruption païenne. Ce cours rejette cette interprétation de la source de l'art chrétien et affirme, plutôt, que l'inspiration de celui-ci était le désir et la nécessité d'exprimer la foi chrétienne en images aussi bien qu'en paroles. Ce que les apôtres "ont vu et entendu, les paléochrétiens l'exprimaient en parole et en image.
The Cross has a double meaning: it is, on the one hand, a symbol of disgrace, torture, death, and, on the other, it symbolizes victory, joy and resurrection.
La première étude raconte l’histoire de Léon de Chalcédoine, XIe siècle, qui disait qu'il faut rendre un culte d'adoration à l'image du Christ. La deuxième cherche le sens d’une phrase de certains Pères de l'Église : « Le Saint-Esprit est l’image du Fils ». La dernière vise à identifier l’Ancien des jours, Dn 7, 9. Qui est-il : le Père ou le Fils ? Réponse : il est le Christ juge eschatologique.
Traductions de l’Ancoratus de saint Épiphane de Salamine, la Réfutation et destruction des arguments d’Eusèbe et d’Épiphanide, sottement avancés contre l’incarnation du Christ notre Sauveur, de saint Nicéphore de Constantinople, la Réfutation et destruction du décret du concile de 815, de Nicéphore, et la Vie de Nicéphore de Constantinople et la Vie d’Épiphane de Salamine.
On présente ici une collection de tableaux par le peintre, S. Bigham -- destiné à avoir une réputation internationale. Il a créé ses peintures en jouant avec des couleurs et des formes. Here is presented a collection of works by the painter, S. Bigham--destined to have an international reputation. He created his paintings by playing with colors and forms.
This book presents eight studies that help the reader to understand icons: The Image of God the Father, Canons on Iconography, The Not-So-Penetrating Look, Death in Orthodox Iconography, Allegorical Personification in Orthodox Iconography, Who Can, Should Paint Icons?, Iconography and St. Gregory Palamas, "Man as the Image of God" in St. Gregory of Nyssa and in Orthodox Iconography.
L'auteur étudie les grands personnages de l'icône, le vocabulaire qui y est propre ; les événements historiques qui ont défini l'icône; et l'image de Dieu le Père. L'icône, son histoire, son vocabulaire, son langage pictural, sa signification et ses artistes : il s'agit finalement de la sainteté, ce brûlant feu divin qui purifie tous ceux et celles qui se laissent toucher par l'art du Dieu
Le Christ représenté dans les icônes et dans l'art roman expriment, selon l'auteur, un art œcuménique, c'est-à-dire une vision théologique commune peinte dans un langage artistique commun. Au tour de l'an 1000, tous les chrétiens pouvaient lire et comprendre ces images. Cette unité s'est malheureusement perdue pendant le second millénaire de l'histoire chrétienne. D'autres études suivent.